Nani (roman), éd. Slatkine

*

décembre 23, La Gruyère

Presse

« Écrit avec des phrases succinctes et des mots qui eux aussi frappent, ce court roman est un cri de colère, mais aussi d’espoir. »
5.12.23, 24 Heures, Caroline Rieder

3.12.23, RTS, Forum, Caroline Pauchard
3.12.23, RTS, Quartier Livre
décembre 23, Fémina
9.11.2023, La Gruyère
9.11.23, Elle, Julie Vasa

9.11.23, La télé & Radio Fribourg, avec Karin Baumgartner

7.11.23, RTS – QWERTZ : Découvrez les quatre nominés du Prix du Public RTS

« Elle a ce talent extraordinaire de faire du laid un récit d’une extraordinaire beauté. »
4.11.23, Blog Mémo-Emoi, Geneviève Meunier

19.10.23, La Gruyère, Eric Bulliard
26.9.23, La Liberté, Thierry Raboud
9.10.23, Notre sélection de livres, 24h

« Les questions d’intégration et de différences culturelles sont parfaitement mises en lumière dans ce roman bouleversant. »
26.10.23, Ma collection de livres, par Henri-Charles Dahlem

« Lisez ce livre vite. Le plus vite possible. Afin que l’expérience soit supportable. L’on ne ressort pas indemne d’un tel ouvrage. Les larmes pourront poindre et la gorge se nouer à la lecture des déchainements de colère et de violence. Cette émotion semble cependant utile, presque nécessaire. Elle sert le combat de l’autrice, qui écrit pour toutes les victimes de violences conjugales, comme une catharsis. La souffrance de tous est passée en revue, des enfants, des femmes, de la famille élargie, des amis et amies. Cette souffrance est ici révélée, crument. Nani la fait voir, sentir et ressentir, avec subtilité et profondeur. Mélanie Richoz décrit le mal – pour que ce mal cesse. »
23.10.23, L’année du Livre 23 / Blog UniFR, Elisa Pelissier

« Nani est un roman qui gagne en puissance au fil des pages et même dans ses silences. »
23.10.23, Badgeekette – Blog littéraire

« Un récit terriblement poignant, courageux mais nécessaire ! »
21.10.23, T’as où les livres ?

« Une lecture dont on ne sort pas indemne et qui décrit le parcours qui est encore celui de nombreuses femmes d’ici et d’ailleurs. »
4.10.23, Blog de MonaLira

« Ecrit en finesse, sans jugement – les faits parlent d’eux-mêmes -, au scalpel. »
4.10.23, Blog Daily Passion, Noé Gaillard

25.9.23, Radio Fribourg, avec Maurizio

14.9.23, Le Poulpe – Couleur 3 avec Yannick Neveu

« Un sujet extrêmement grave traité avec tellement d’humanité et de poésie, car je vous affirme que l’écriture est belle et que l’espoir est présent tout au long du chemin. »
14.9.23, Blog de Cathjack

« Mélanie Richoz a ce don oui. D’offrir le vie. Elle a le don d’offrir la tendresse et la douceur. Son écriture, ses mots en sont emplis. Et jamais elle n’oublie le fer, le feu, les marques. Mais jamais non plus, elle n’oublie que sous les cendres, la vie renaît. »
12.9.23, Le Petite Carré Jaune

« N.A.N.I , Albina , une histoire tellement bouleversante, douloureuse. Lu à bout de souffle, les larmes aux yeux, coeur serré, désarmée face à cette violence conjugale familiale terrible. »
10.9.23, Blog de Lealem_lit

« Avec le bref « Nani » (ed. Slatkine), Mélanie Richoz signe quant à elle un des romans les plus terribles et puissants de cette cuvée. »
24.8.23, QWERTZ – RTS par Nicolas Julliard

24.8.23, Drôle d’Epoque – RTS avec Simon Matthey-Doret & Mélanie Croubalian

23.8.23, 12h30 – RTS par Coralie Claude : « un roman puissant qui serre les tripes. »

GUEPARD (éco-haïkus), éd. Des Sables

Des vagues dans le ventre

de l’écume au bord des lèvres

ballant mal de mère

Une mère et son fils. Une louve et son louveteau.

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REPORT THIS ADCONFIDENTIALITÉ

Ensemble ils ont écrit ce livre. Le louveteau dessine. La louve hurle.

Au monde qui brûle. Au monde qui s’effondre. Aux espèces qui disparaissent. Du réchauffement ou du polyéthylène.

Toujours de la main de l’Homme finalement.

Au monde qui brûle et à la peur qui dévore. Habite les nuits. La peur pour son tout petit. De lui laisser ce monde. De lui transmettre ce monde. Dans cet état.

Et le guépard demande-t-il.

Que lui dire, comment lui dire ?

Ce monde qui court à sa perte.

Le réel des grands qui se cogne à l’innocence de l’enfance.

Guépard. Lombric. Papillon. Joncquille. Hérisson. Arbre. Tortue. Torture. Du monde.

Tortue étourdies

gobent par kilos des méduses

polyéthylène

Si peu de mots pourtant si forts. Une houle d’amour et de crainte. D’une mère à son fils. D’une femme à l’enfance.

Une poésie folle pour dire le grave, le triste, l’inévitable. L’anxiété. Et la beauté tant qu’il y en a. La beauté sous les traits de Fernand Louis Alphonse. Le louveteau. Le lionceau. Le tout petit. Qui deviendra grand. Géant. De cet amour là.

14.4.2023, blog L’Ivresse Littéraire

La Liberté, Thierry Raboud, décembre 2022

RTS-QWERTZ, Céline O’Clin, décembre 2022

MOUCHES (roman), éd. Slatkine

Sélection au Roman des Romands 2023

Quotidien Jurassien, 9.11.23

RFJ, 7.11.23

Canal Alpha
Reportage sur le Roman des Romands 
Des élèves de Porrentruy, jury pour un prix littéraire
par Eugénie Bron
le 2.11.23

La Liberté, 29.4.23

24 heures, 23.4.23

Marie Claire, 5 mai 2022
Génération, 2 avril 2022
La Gruyère, Eric Bulliard, le 24 mars 2022

RTS

QWERTZ

avec Céline O’Clin

le 1er février 2022

*

Radio Fribourg

Rendez-vous culture

avec Tanya

le 17 février 2022

*

« Ce texte est très court, se lit vite et est d’une puissance impressionnante. Epuré à l’extrême, chaque mot est pesé, mesuré, choisi avec soin et minutie et prend toute son importance. Il en devient alors essentiel. »

Lecture et plus, Martine février 2022

« Cette auteure a le don de dire beaucoup dans un minimum de mots. Je l’imagine élaguant ses textes à l’extrême, n’en conservant que l’indispensable, le mot qui claque, l’expression qui fait mouche. Tout est dit, rien ne manque, et c’est très fort. Vous imaginez, quatre-vingt-six pages pour raconter une vie, les bonheurs, les malheurs. L’écriture est épurée, et pourtant elle sautille. Elle a happé la lectrice que je suis, m’a émue au plus haut point, m’a fait rire et pleurer. »

Blog Littéraire Mémo-Emoi, Geneviève Munier, 31 janvier 2022

« Un corps inerte rempli de souvenirs sentant l’herbe humide et sauvage, des tartines de gelée de coing ou encore l’odeur acre de la chambre, du grenier de son enfance. Josiane et ses portes qu’elle ne sait plus comment ouvrir. Josiane et sa façon de se cogner au verre, au passé, au présent, telle une mouche ne sachant plus où se poser, où voler.  La lumière rare et précieuse d’un champ de vision qui rétrécit, sombre, s’oublie, se débat d’une façon si terrible pour résister encore un peu. »

Le Petit Carré Jaune, Sabine Faulmeyer, février 2022

La Liberté, Thierry Raboud, février 2022

Sélection – coups de coeur

Coup de coeur Payot, Thierry Clerc

Sélectionné pour le Prix des libraires Payot 2022 – «Littérature francophone»
Mince et léger, ce récit est long et lourd comme une vie entière. Dans son EMS, une très vieille dame achève ses jours en ne vivant que ceux du passé. Alors qu’elle est gentiment entourée, elle vit au mieux dans l’étonnement complet, mais le plus souvent dans la terreur: aux perles blanches de son chapelet d’enfant se sont substituées les mouches sales et vrombissantes de la démence sénile… Avec une délicatesse et une justesse bouleversantes, Mélanie Richoz égraine les souvenirs, les regrets, les images, les errances, reliés par le fil ténu mais encore solide d’une vie qui ne tient plus qu’à un souffle, de l’air – rien.

Joëlle Brack, Libraire, payot.ch

https://www.facebook.com/payot.libraire/videos/758128248490211

Coup de pouce, coup de coeur sur Radio France Alzheimer, 13 mai 2022

Ma Même-Pas-Belle-Mère (roman graphique), éd. Fleurs Bleues

Coopération, 10 janvier 2023, Jean-Dominique Humbert

« Avec ces saynètes singulières qui oscillent en permanence entre la trivialité du quotidien (et de la pré-adolescence) et la poésie, « Ma Même-pas-belle-mère » réussit à jeter une lumière tendre sur la recomposition familiale, sans jamais tomber dans la facilité. Ces pages douces amères devraient plaire au plus grand nombre mais résonner d’une façon toute particulière dans le coeur de celles et ceux qui ont dû apprendre à apprivoiser – et à aimer même, parfois – les enfants d’un.e autre… »

Psychologies, 24 janvier 2022, Elyane Vignau

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Couleur 3

Bull it / Brazil

avec Didier Charlet & Emilien Davaud

19 décembre 2021

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Couleur 3

Le Freak !

avec Laura Chaignat & Emilien Davaud

16 décembre 2021

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RTS

12h45

avec Clair Burgy

13 décembre 2021

*

« Mélanie Richoz aime partir de choses vraies pour écrire. Cette inclination se répète dans cet espiègle huis clos de famille recomposée. A la manière d’un Riad Sattouf – qui s’inspire de la fille d’amis pour raconter le quo- tidien d’une enfant dans Les Cahiers d’Esther –, l’auteure ra- conte ses facétieux tête-à-tête avec sa belle-fille, entre les neuf et douze ans de cette dernière. As-tu déjà vu le zizi de papa? C’est quoi le grand sexe? Je peux t’appeler maman? Quand allez- vous vous marier? Emilie arrose Anne de questions plus ou moins gênantes. Que répondre à une fillette qui n’est pas encore une belle-fille officielle? Com- ment s’apprivoiser? Avec ce récit feel good, frais, candide et moel- leux, le duo romand montre que la vie a sans cesse – comme les livres – de réjouissants nou- veaux chapitres à écrire. « 

La Liberté, Samuel Jordan, 15 décembre 2021

« La Fribourgeoise Mélanie Richoz conte les choses de la vie avec une tendresse espiègle. Elle récidive avec «Ma Même-Pas-Belle-Mère», roman graphique illustré par le trait à la fois minimaliste et expressif d’Émilien Davaud. L’histoire très drôle et touchante d’une fillette et de l’amoureuse de son père qui s’apprivoisent. Est-ce parce qu’elles ont les deux subi une brûlure accidentelle? Voilà la jeune Émilie bombardant une Anne, bientôt attendrie, de questions téméraires. Poétique, décalé et plein d’espoir ».  

TDG, Caroline Rieder, 10 décembre 2021

RADIO FRIBOURG

Frapp

avec Sarah Camporini

17 décembre 2021

*

RTS

Le Grand Soir

avec Mélanie Croubalian, Eric Grosjean et Stéphane

6 décembre 2021

*

La Tribune de Genève,16 janvier 2022

RTS

Le Grand Soir

avec Mélanie Croubalian, Eric Grosjean et Stéphane

6 décembre 2021

*

Elyane Vignau, 24 janvier 2022

Contre-la-montre, biographie de Jean-Marc Berset, éd. Slatkine

1

COOP MAGAZINE, Jean-Dominique Humbert, 18 mai 2021

Radio Fribourg, Karin Baumgartner; 27 mai 2021

« Jamais larmoyant, mais infiniment touchant et vrai, l’homme nous fait part de sa conception de la vie, de son besoin de se fixer des buts et de tout faire pour y parvenir.On sent une auteure très à l’écoute et qui a sans doute revu son récit au mot près par peur de blesser ou de trahir.100 pages chargées d’énergies positives, 100 pages pour nous émouvoir, 100 pages pour partager le même rêve que Jean-Marc Berset: le voir participer au JO de Tokyo ! »

Des Livres et moi, Nathalie Romanens, mai 2021

« Si Jean-Marc Berset se confie aujourd’hui, c’est d’abord pour laisser une trace à ses enfants et, également, donner de l’espoir à toutes les personnes accidentées se retrouvant handicapées. Insister sur l’importance d’un sourire. Gageons qu’avec ce livre court, d’une intensité et d’une sincérité incroyables, tout en douceur et en émotions, dans lequel la complicité entre le sujet et son biographe affleure à chaque page, il y est parvenu. »

Blog l’Apostrophée, Julie Vasa, mai 2021

« Au-delà du récit de Jean Marc Berset, de son goût pour le sport, ce que l’on retient de ce récit, ce sont les silences, ce qui n’est pas écrit mais se lit, s’entend, se voit, l’amour d’un père, d’un homme, d’un compagnon, l’amitié, la soif, l’endurance, la détermination, la peur du vide et du temps, les rires, la complicité, la tendresse, la sincérité, l’amour. Une trace où l’handicap, le fauteuil roulant n’a aucune importance. Juste celle d’une vie. Celle de Jean Marc Berset. »

Blog Le Petit Carré Jaune, Sabine Faulmeyer, 23 avril 2021

RTS

QWERTZ

Avec Marlène Métrailler

21 avril 2021

24 HEURES, Caroline Rieder, 20 avril 2021

CANAL9

PARENTHESE (20 ème minute)

Avec Nathalie Romanens

20 avril 2021

« Ce livre est un vrai délice… »

RTS

Vertigo

Avec Marlène Métrailler

19 avril 2021

« Il en résulte un ouvrage concis et sensible, économe de mots d’où se dégage le parcours hors norme de Jean-Marc Berset et qui traduit la complicité et la confiance qui se sont instaurées entre l’autrice et le sportif. »

La Liberté, Pascal Dupasquier, 17 avril 2021

RTS – Forum
L’invité Sportif
Avec Thibaut Schaller
4 avril 2021

Apollo (poésie), éd. Slatkine

Coup de coeur Filigramme, 2022
Now Village, 4 mai 2021

Coop Magazine,
Jean-Dominique Humbert, novembre 2020

RTS – Alice s’émerveille

13 septembre 2020, avec Manuella Maury

Littérature romande
Mélanie Richoz, ou la naissance d’une mère 

La Fribourgeoise évoque dans «Apollo» le bonheur mais aussi les bouleversements de l’arrivée d’un enfant.

Caroline Rieder : 04.09.2020

La Fribourgeoise Mélanie Richoz explore dans «Apollo» un thème aussi intime qu’universel: la maternité.
La Fribourgeoise Mélanie Richoz explore dans «Apollo» un thème aussi intime qu’universel: la maternité.PHILIPPE MAEDER

«Apollo» raconte l’enfant qui arrive telle une fusée, mais aussi la naissance d’une mère. Dans son dernier livre, la Fribourgeoise Mélanie Richoz esquisse avec délicatesse ce monde nouveau qui surgit, propulsant les parents sur une autre planète. Face à cette expérience aussi intime que très largement partagée, l’auteure aurait pu avoir peur, mais elle ne craint pas les thèmes délicats. Pour aborder l’autisme dans «J’ai tué papa», elle avait puisé dans son expérience d’ergothérapeute. Pour ce texte, elle s’est tenue au plus près de son expérience de maman. Adepte des formes brèves, elle déroule le miracle de la vie par petites touches, dans un récit poétique qui dialogue avec les douces esquisses del’illustratrice d’origine japonaise Kotimi. 

Corps de femme, tête de mère

Le récit démarre avec la fusion étonnée des premiers jours et la transformation de la femme en «koala épuisé qui dort, encore et encore, sur la branche de la maternité». Mais le ravissement l’emporte sur l’extrême fatigue. Au point que si la narratrice avait pu choisir comme nom «un plaisir de grossesse», elle aurait appelé son fils Apollo, car il lui a décroché la lune.

«J’ai perdu 5 kilos, 8, 10, 12, 15, 16. Personne n’a remarqué, tout le monde te regarde, moi la première»Mélanie Richoz, «Apollo»

Une joie immense qui n’élude pas les changements du corps, des plus immédiats comme le lait qui suinte jusque sur les vêtements, à ceux qui peuvent survenir plusieurs mois après l’accouchement: «J’ai perdu 5 kilos, 8, 10, 12, 15, 16. Personne n’a remarqué, tout le monde te regarde, moi la première.» Puis le repos de la guerrière: «Tu dors dans ta chambre, je fais mes nuits.» Ou encore le couple en perte de repères: le mari devenu père qui regarde sa compagne différemment, elle qui se demande où se cache la femme derrière la mère. 

Entre sorties à trois, premiers pas du «petit garçon» devenu «le fils», retrouvailles charnelles avec l’homme aimé, les jours se déroulent en instantanés qui oscillent de la prose poétique au haïku. Ces mots qui semblent écrits pour être dits font écho à l’intérêt de l’auteure pour le slam. Voilà qui tombe bien, elle les portera sur la scène de La Coquette, à Morges, ce dimanche 6 septembre. À entendre ou à lire, un court opus pour se réjouir, se reconnaître ou se rappeler ces moments de vie si particuliers.

24h & Tribune de Genève, 4.9.2020

« Inévitablement je suis bouleversée. Je ne sais pas encore ce qu’est être mère. J’ignore tout. Et pourtant, les mots tendres, protecteurs, intimes de Mélanie Richoz ont immédiatement fait écho. Perspective des futurs ressentis, futures émotions, profusions. Des mots simples qui suffisent pour dire le bouleversement d’une nouvelle vie, à trois. La transformation de femme à mère, de mère à femme, amante, la transformation du corps, du lait qui coule, abondance d’amour. Pour dire les doutes et les angoisses. Les nuits sans sommeil, les éclats de joie, les premières séparations, le désir pour un homme. Son homme. Ce père. »

L’ivresse Littéraire, 4.8.2020

Le Courrier, 18 juin 2020, Elisabeth Haas
La Gruyère, 25 juin 2020, Priska Rauber

« C’est magnifique, la poésie est délicate, subtile, mais drôle à certains moments. N’ayant pourtant pas d’enfants, j’ai été très touchée et émue par ses vers, mais également par les très belles illustration de Kotimi. Elles complètent à merveilles les poèmes, douces et amusantes. »

Lire en Suisse, 31 mai 2020

RTS – Vertigo

22 mai 2020, avec Laurence Froidevaux

QWERTZ, Marlène Métrailler, mai 2020

« L’irruption d’un enfant dans une vie de femme, une vie de couple, dans la vie du monde… Entre humour et inquiétude, méditation et quotidien, un long et fantasque poème d’une tendresse bouleversante, délicatement illustré dans le même esprit par @kotimi_art. Et un ouvrage ravissant, cadeau idéal pour de jeunes parents ! »

Payot, Joëlle Brack, juin 2020

Radio Fribourg

25 mai 2020, avec Amaëlle

La Liberté, Elisabeth Haas, 23 mai 2020

Apollo est une lettre, une lettre à l’enfant, une lettre au petit garçon, un récit intime, touchant, inclassable et si beau, si pudique, libre, un acte d’amour feutré, un temps suspendu, volé, d’une mère, de parents pour son/leur fils, pour celui qui l’a fait mère/parents, qui l’a fait naître, qui lui a rendu son droit d‘être femme aussi, d’aimer, d’être aimée. Apollo est un chant, un trait de fusain, l’art merveilleux et sensible, rieur et fragile de Kotimi. Ses illustrations épurées, quasi enfantines, humaines sont un fil d’Ariane, le trait d’émotion, une touche de rose dans le coton de soi, le lien à une linea-negra disparue au détour d’un matin, au détour d’une naissance.

Le Petit Carré Jaune, 18 mai 2020

« Je ne sais pas comment en parler car il est difficile à décrire. Un OVLI comme je dis parfois (Objet Livresque Non Identifié). C’est un livre qui ne s’explique pas… il se ressent. »

Cathjack, 19 mai 2020

RTS – 12h30

14 mai 2020, invitées culturelles de Coralie Claude

« Un hymne à l’amour, l’amour maternel, mais aussi l’amour pour l’homme, le père de l’enfant. »

Mémos-Emoi, 12 mai 2020

Le Bus (roman), éd. Slatkine

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Anne-Isabelle Aebli, Migros Magazine, septembre 2018

LeBus_La Gruyère
Priska Rauber, La Gruyère, 20.9.18

Le Bus Messager
Valentin Jordil, Le Messager, 14.9.18

Invitée du 12h30 à la RTS
le 29.8.18, avec Coralie Claude

Courrier

Anne Pitteloud, Le Courrier, 24.8.18

« Sortez un peu de votre zone de confort, ouvrez les yeux et respirez un grand coup. L’inconnu, la nouveauté, l’inhabituel peuvent vous entraîner sur des chemins de traverses littéraires dérangeants, étonnants, mais au demeurant fort agréables. »

Blog littéraire Actualité.com

« Le bus est un voile qui orne les femmes, les déshabille et leur donne chair, matrice, forme, vie. Un bus comme un rendez-vous, un passage, un trajet qui nous percute et prend forme. Un éclairage sur cette part qui est en nous, sur ce qui est nous, notre féminité, notre corps, notre sexe, notre sexualité. »

Blog littéraire, Le Petit Carré Jaune 

La télé, le 24.8.2018

La Gruyere

La Gruyère, 27 juillet 2018

Le Grand Prix culturel de la Migros a été attribué à la fribourgeoise Mélanie Richoz pour «Cerise», un manuscrit en cours d’écriture. L’écrivaine de 41 ans, qui compte déjà sept ouvrages à son actif, est récompensée de 50’000 francs.

Dans le cadre de son soutien aux activités culturelles, la coopérative Migros Neuchâtel-Fribourg offre chaque année à une discipline artistique différente un grand prix à un candidat soigneusement sélectionné par un jury de professionnels.

Parmi cinq auteurs (qui se partagent 10’000 francs), le choix du jury s’est porté sur Mélanie Richoz, bloggeuse et auteure déjà de sept romans chez Slatkine. La Fribourgeoise est récompensée pour «Cerise», titre provisoire d’un ouvrage en cours.

«Un ami m’a lancé un défi»

«La bourse d’un montant de 50’000 francs doit permettre à Mélanie Richoz, ergothérapeute de métier, de consacrer une année à la rédaction de Cerise», explique la coopérative Migros-Neuchâtel dans un communiqué. «Il me fallait un point de départ pour écrire une dizaine de page à soumettre au jury. Je cherchais une idée et un ami m’a lancé un défi», précise la Fribourgeoise.

«Ton personnage s’appellera Cerise. Elle voit en noir et blanc. Elle n’a jamais vu la couleur, mais elle sait que le rouge est sucré, le vert à l’odeur mouillée de la forêt et le bleu pince le cœur». De ce synopsis intrigant, Mélanie Richoz a engendré une héroïne dans la marge: une jeune femme présentant une anomalie anatomique en quête d’identité.

La Liberté, octobre 2016

La Gruyère, octobre 2016

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Migros Magazine, octobre 2016

Le Point du i (roman graphique), éd. des ronds dans l’O

Sans jamais choquer, la simplicité du texte comme celui du crayon de Barroux qui suggère plus qu’il ne dévoile, nous embarque dans les thèmes du désir, de l’amour ou encore de la séduction. Des sujets qui font partie intégrante de nos quotidiens mais qui restent (trop souvent ?) dans l’intimité de notre vie ou dans le silence de nos monologues intérieurs.

Migros Magasine, Nadia Barth, le 3 novembre 2017

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La Gruyère, Priska Rauber, le 5 octobre 2018

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Revue DBD, juillet-août 2017

Le Point du i, coup de coeur de Marlène Métrailler sur Culture au Point

Espace 2, RTS, juin 2017

« Parce que « Le point du i » c’est nous, c’est elle, c’est moi, c’est vous. C’est la femme qui sommeille en nous, ose, se déguise, se maquille, se farde, se dénude, s’épanouie, se terre, se recherche, se joue du temps et du vent, se pose un instant, s’aime, aime, s’interroge, se malmène, se désire, désire, touche, effleure, ressent, ovule, se douche, se parfume, pleure en secret, doute, fout le bordel, rit mais surtout est elle avant d’être celle que l’autre désire, dessine, pense. »

Le Petit Carré Jaune, mai 2017

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Comixtrip, Damien Canteau, juin 2017

Un garçon qui court (roman), éd. Slatkine 

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La Gruyère, novembre 16
Eric Bulliard

Soins et Beauté, 5.10.2016
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Soins et Beauté, 5.10.2016                                    Le courrier, 26.8.16

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Supplément de l’Hebdo, sélection Payot –  Le meilleur de la rentrée –, août 2016

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« Versus »
Avec Marlène Métrailler
Emission du 31.8.2016

« Dans son dernier opus, Mélanie Richoz fait preuve de silence, de pureté dans l’écriture, de discrétion comme pour mieux camoufler l’orage qui gronde, le secret qui transperce mais ne peut se dire, les émotions palpables, sensibles mais qui n’ont pas le droit de se montrer, de parler. »

Blog du Petit Carré Jaune, septembre 2016

« Cette lettre, pour Frédéric, c’est une renaissance, un retour à la vie. Un texte que le lecteur reçoit en plein cœur, si juste, si mesuré, si effilé. Un concentré d’émotion et de finesse. »

Blog motspourmots, septembre 2016

J’AI TUE PAPA (roman), éd. Slatkine & Cie

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J’ai tué papa apparaît sous forme de feuilleton dans La Gruyère, octobre 17 – février 18

« C’est un récit brillant, intelligent, grave, drôle par moments qui permet de donner une autre vision de l’autisme. »

Le 26.11.2017, Les lectures du  mouton

« Un roman à trois voix, bouleversant de simplicité. »

Sélection du 17.02.2017, Allodocteurs

http://www.allodocteurs.fr/livre/la-selection-du-21-10-2016_20605.htm

« Une pure merveille de drôlerie, de subtilités, de finesse ! (…) Si vous ne le lisez pas, vous passez vraiment à côté de quelque chose. (…) Pour moi, c’est l’un des petits événements de l’année. »

Le 21.10.2016, Gérard Collard

« Ce roman à trois voix est poignant, il nous montre l’autiste de l’intérieur et cela en est que plus touchant. L’émotion est au rendez-vous !!! »

avril 2017, Sur ma table de nuit

« Mélanie Richoz réussit avec brio le pari de donner des clés à autisme, de l’éclairer, sans le juger ni tenter d’expliquer quoi que ce soit. Grâce au personnage d’Antoine, elle parle de tous les enfants dans la même condition, rejetés, incompris. D’ailleurs, ne dédie-t-elle pas ce livre à « ses petits patients » ? Ce roman, bouleversant malgré sa petitesse, est une belle ode à la différence, à l’ouverture d’esprit, à la compréhension de l’autre. À l’amour, tout court. »

mars 2017, Toute la culture

octobre 2016, Pauline Renou, bloggueuse

« J’ai tué papa est un très beau roman, sensible, à trois voix, au style travaillé pour rendre compte de la pensée, de la réflexion orale, à la dramaturgie soignée toute freudienne, qui nous introduit dans l’univers d’un autiste, ce qui permet de mieux comprendre ses réactions. »

Le 19 septembre 2016, Encres Vagabondes

« Un récit court mais qui m’a bouleversé. J’ai fini les dernières pages avec des poissons d’eau dans les yeux. »

Le 25 août 2016,  Mot-à-mots

« Ce roman de Mélanie Richoz est un très beau texte, écrit de manière poétique et pudique. »

Le 25 août 2016,  Les lectures d’Antigone

Rendez-vous culture
Radio Fribourg
Avec Thierry Savary
16.12.2015

Le 12h30
RTS
Avec Carine Regidor
21.11.2015

« Sous « cette forme romancée, récréative », elle propose une porte d’entrée vers ce monde si mystérieux de l’autisme. De manière très fine et avec une justesse épatante, Mélanie Richoz évoque différentes caractéristiques d’enfants atteints du syndrome d’Asperger : l’odorat hypersensible, la difficultés à nouer des relations avec ses camarades ou à comprendre l’humour, l’anxiété face à l’inconnu ou encoure un rapport absolu à la vérité : « Antoine ne conçoit pas que l’humain puisse mentir, même pour rigoler », écrit Mélanie Richoz. (…) A la voix d’Antoine se mêlent celles de sa mère et de son père, hospitalisé à la suite d’un accident que le petit narrateur ne comprend pas. Sans Pathos, mais extrêmement touchant. »

La Gruyère, Le 24 octobre 2015
Eric Bulliard

« Une auteure suisse d’une infinie douceur qui écrit avec sensibilité mais sans sensiblerie. Une plume faite pour les mots et les silences ….bref, une écrivaine de talent à suivre, et, pour certains, à découvrir ! »

Le 15 octobre 2015, Coup de pousses

Octobre 2015, http://www.autisme.qc.ca
Octobre 2015, http://www.autisme.qc.ca
Le 1er octobre 2015, Marie Claire
Le 1er octobre 2015, Marie Claire
Le 22 septembre 2015, Coopération
Le 22 septembre 2015, Coopération
Le 22 septembre 2015, Le Messager
Le 22 septembre 2015, Le Messager

« Avec un style qui lui est propre, sa façon d’écrire juste, sans un mot en trop, directe, Mélanie Richoz capte toutes les émotions nécessaires à dresser un portait rempli d’amour et de lumière. Une mélodie enchanteresse, un parfum de sensibilité, une ode à la différence »

Le 8 septembre 2015, Le Petit Carré Jaune

« La Bulloise prend le parti d’un discours épuré, rythmé par l’alternance des perspectives narratives, à laquelle s’ajoutent des retours à la ligne impromptus ou encore des références proches du comique et sources de légèreté. »

Le 4 septembre 2015, Sept.info

Le 1er septembre 2015, Le Nouvelliste
Le 1er septembre 2015, Le Nouvelliste
Le 28 août 2015, Le Courrier
Le 28 août 2015, Le Courrier
Le 28 août 2015, La Liberté
Le 28 août 2015, La Liberté
Le 28 août 2015, 24h
Le 28 août 2015, 24h
Le 29 août, La Tribune de Genève
Le 29 août, La Tribune de Genève

« Ce livre sonne très juste et dresse un portrait touchant de ce jeune garçon. C’est intéressant car Antoine est un autiste de haut niveau et il a appris et arrive à expliquer ce qu’il ressent. A l’image de Josef Schovanec, qui est cité en début de livre, il éclaire les personnes ordinaires sur ce qui se passe dans la tête de toutes les personnes extra-ordinaires. On peut mesurer alors les obstacles qui se présentent à toutes les personnes atteintes du spectre de l’autisme et pour lesquelles, il est difficile de communiquer. »

Le 11 septembre 2015, Blog Saperlitpopette

« Après avoir lu ce roman de Mélanie Richoz, dont le style est direct et dans lequel les mots font mouche, on ne peut qu’être tout chose quand on en émerge, parce qu’on sait fort bien que tout ce qu’on a appris est vrai et qu’on ne pourra plus jamais regarder un enfant ou un adulte atteint d’autisme de la même façon. »

Le 12 août 2015, le blog de Francis Richard

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Le Courrier, 18 mai 2015

GUIDER LES ENFANTS AUTISTES DANS LES

HABILETES SOCIALES, éd. DE BOECK

Veuillez vous référer à mon site professionnel : http://www.ergobulle.ch

LE  BAIN  ET  LA  DOUCHE  FROIDE (nouvelles), éd. Slatkine

Espace 2

Entre les lignes

Avec Marlène Métrailler et Jean-Marie Felix

Emission du 17 mars 2015

« La nouvelliste fribourgeoise souffle le chaud et le froid, en virtuose.

Ses créatures valdinguent dans tous les sens… Et tourne le manège de la cruauté ordinaire.

Ses personnages sont le plus souvent murés dans la solitude. Des hommes, des femmes. La plus âgée a 103 ans, les plus jeunes une dizaine d’années. Largués. Décalés. Ils ont en commun l’altérité, des voix singulières. Peinent presque tous à verbaliser leurs maux. N’en sont pas moins dignes dans leur genre. Autour d’eux, selon son humeur, Mélanie Richoz taille les silences, creuse le vide, pose des pièges ou aménage des passerelles.

L’auteure ne s’embarrasse pas de décors. Elle aime toutefois allumer la mèche de ses histoires sur des seuils, devant des portes entrebâillées – de préférence grinçantes et aux gonds mal huilés -, des embrasures qui donnent vers des intérieurs tamisés. Elle a le don aussi pour planter son lecteur à contrejour… A partir de là, elle suggère. Elle donne des pistes. Raconte en pointillés. Des horreurs parfois. Elle cisèle la langue. La pimente de jurons, de frivolités ou de néologismes si nécessaire. Il lui arrive de régler des comptes. Mine de rien, elle fait mouche, vous alpague par surprise et avec grâce. »

Marlène Métrailler

« De sa plume directe, concise, précise, chirurgicale, Mélanie Richoz fouille dans nos entrailles pour aller frapper directement au coeur. Une écriture où l’économie de mots rend ceux-ci encore plus efficaces, plus puissants. Finalement que c’est bon l’économie. »

Le 4 mars 2015, Les lectures du Hiboux

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Perle de mercure

Emission du 13 mai 2015

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Rire de grande folle

Avec Victoria Turrian

Emission du 7 janvier 2015

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 Le 13 décembre 2014, La Liberté

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 Le 6 décembre 2014, La Gruyère

Entretien sur Littérature-romande.net
le 23 novembre 2014

« L’art de la nouvelle est difficile, il faut ce point de tension rapide, cette chute crédible, saisir l’humanité des personnages en quelques lignes. Mélanie Richoz est experte en la matière, un recueil à découvrir, rapidement! »

Le 30 octobre 2014, L’Insatiable Charlotte

photo

5-7 septembre, Tribune de Genève

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Le 2 juillet 2014, Marie Claire

Chat franco-suisse
avec Mélanie Chappuis, Les Livres Voyageurs et moi
juin 2014, L’ivre de lire

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Le 15 juin 2014, Fémina,
Nicolas Poinsot

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« Les plus courtes sont toujours les meilleures. Mélanie ne contredirait pas l’adage, elle qui publie Le Bain et la Douche froide, un recueil de 24 nouvelles aussi lapidaires qu’intrigantes. Pas toujours drôles, non, mais souvent acerbes, piquantes, enlevées, désespérées, cruelles et poétiques. Après l’incongru et stimulant roman Mue publié l’an passé, la Fribourgeoise renoue avec la forme brève dans ces nouvelles qui sont autant de chroniques où se construisent des mondes justes assez invraisemblables pour que l’on ait envie d’y croire.

(…). Bien sûr, l’on pourrait faire reproche à Mélanie Richoz d’avoir le souffle court. Elle qui confiait l’an passé à La Liberté écrire comme « à tâtons » touche pourtant juste : ses saynètes en disent plus long que ce que leur nombre de pages laisse supposer. « On ne décide pas de devenir écrivain, mais d’écrire », fait-elle dire à l’un de ses personnages. Qu’elle continue donc. »

Le 12 avril 2014, La Liberté,
Thierry Raboud

Télévision Suisse Romande

Le 19h30

« Si les livres sont sur les Quais, les auteurs sont sous les tables » 😉

Emission du 6 septembre 2014

La Télé

L’actu du midi

avec Zelda Chauvet

Emission du 5 septembre 2014

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Avec Victoria Turrian

Emission du 20 août 2014

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Avec Victoria Turrian

Emission du 11 août 2014

La Télé

Culture Mix

avec Zelda Chauvet

Emission du 5 juin 2014

RTS

Entre nous soit dit

Avec Mélanie Croubalian

Emission du 15.5.2014

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Avec Carine Delfini

Emission du 15 et 17.5.2014

Nouvelliste

Le 15 mai 2014, Le Nouvelliste / L’Express et L’Impartial
Audrey Carron

Vigousse 2.5

Le 2 mai 2014, Vigousse
Alinda Dufey

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Le 25 avril 2014, Le Messager,
Valérie Blom

«Dans chaque nouvelle, il y a beaucoup de noirceur mais aussi beaucoup de lumière! J’avais un peu peur que ça fasse midinette, au départ, mais ça ne l’est en fait pas du tout». Fraîchement auteure du livre Le Bain et la Douche froide, Mélanie Richoz est une Fribourgeoise bien connue des Francs-Montagnards. Active dans le giron culturel romand, la jeune Bulloise est une bonne amie du chanteur taignon LiA, alias Félicien Donzé, pour lequel elle a écrit trois chansons de ses deux albums solo. Rien d’étonnant si le Jura s’intéresse désormais à son dernier ouvrage, paru en mars dernier aux Editions Slatkine. Au coeur d’un recueil de 24 nouvelles, ils retrouveront sans peine la verve d’une plume contemporaine, glissant aisément entre sombres ambiances et grivoiserie.

De la pénombre à la lumière
Ergothérapeute spécialisée en pédiatrie, Mélanie Richoz est ainsi une rédactrice passionnée à ses heures, grande adepte des récits courts. A la suite de textes divers et chroniques locales, Le Bain et la Douche froide est son quatrième opus. Pour qui a fredonné Le Courant d’air, La Libellule ou Asphalte de LiA, la malice plumitive signée Richoz n’est donc point inconnue. Après un essai théâtral, puis deux romans, l’auteure met aujourd’hui les bouchées doubles via 24 nouvelles. Des histoires fugaces, indépendantes l’un de l’autre, mais à lire, si possible, à la suite. «Certaines d’entre elles ont quelque chose en commun». De l’une à l’autre, Mélanie traite des thématiques fortes telles que la fausse-couche, le racisme ou le suicide auprès des jeunes. Des sujets de sociétés certes austères, mais auxquels l’auteure assène chaque fois un espoir tangible. «Ce qui me permet d’aller autant vers la noirceur, c’est que les personnages sont plein d’amour et de lumière. Il y a beaucoup de personnages enfantins et adolescents».

Du racisme à l’érotisme
Parmi ces atmosphères contrastées: deux nouvelles érotiques, dont Comme des enfants sauvages qui épient le monde dans l’embrasure d’une porte. Ingénument, les jeunes héroïnes s’y adonnent lascivement aux amours saphiques. Un récit sous forme d’exploration, principalement; pudiquement exposé, sans la moindre vulgarité. «C’est très érotique, mais pas sexuel. Parce que même si ça dit vraiment les choses, ç’est présenté comme une découverte». Objet de lecture lors du récent vernissage, à Fribourg, la nouvelle a vivement interpellé le jeune public masculin: «Certains m’ont dit qu’ils ont adoré savoir comment ça se passait pour une fille…».

Le 23 avril 2014, Arc Hebdo
Salomé Di Nuccio

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Le 18 avril 2014, Le Courrier,
Marc-Olivier Parlatano

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Emission du 24.4.2014

« La douceur ne reste jamais bien loin, car même si la violence des uns envers les autres, l’injustice ou la vengeance l’emportent parfois, ce sont les gouttes de vie qui restent et réveillent… et les espoirs pointent joliment le bout de leur nez sous forme de paire de chaussures dans une entrée… « 

Le 16 avril 2014, Blablamia,
Séverine

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Le 8 avril 2014, La Gruyère
Angélique Rime

« Mélanie, ton « bain et la douche froide » qu’est ce que je l’ai aimé. Je l’ai tellement aimé que cela fait bientôt deux semaines que je le lis, le relis, le re-relis. Deux semaines où je puise dans ton eau pour trouver les mots et tenter de faire tant bien que mal un billet. Deux semaines que je n’arrive pas à en parler. Deux semaines…

(…) Mélanie, tes phrases, ton style, ta prose, ta musicalité… Et toujours ce sentiment d’urgence, de vivre la vie intensément, goulument. »

Le petit carré jaune,
Sabine

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Le 3 avril 2014, L’Hebdo
Isabelle Falconnier

Elle a prêté sa plume à l’artiste loitchou LiA, alias Félicien Donzé. La Gruériene Mélanie Richoz a en effet signé les chansons «Si j’étais un courant d’air» ou «La libelule». Elle sort aujourd’hui un recueil de 24 nouvelles aux éditions Slatkine; de petites histoires traitant de sujets très divers comme la fausse couche, l’amour paternel ou l’homosexualité. Intitulé «Le Bain et la Douche froide», le quatrième ouvrage de cette jeune et prometteuse auteure est disponible en librairie depuis fin mars.(per)

Le 1er  avril 2014, Le Franc-Montagnard

« Mélanie Richoz avait beaucoup de choses à écrire. Elle les a écrites tout simplement, parfois crûment. Elle s’est écoutée et le genre de la nouvelle courte convenait parfaitement à tous ces propos qu’elle voulait tenir. A la lire, il n’est pas besoin de se demander si l’élan pour écrire lui a été donné. »

Le 28 mars 2014, Le Blog de Francis Richard

Radio Fribourg

À l’Ombre du Baobag

Avec Laurent Michel

Emission du 26.3.2014

 

***

MUE (roman), éd. Slatkine

« Ce superbe roman qui nous conte la mue des deux personnages par le frottement de leur peaux, le fait de rentrer dans la peau de l’autre, mais aussi par leur rapport aux mots, écrits ou prononcés ou même par leur absence opère aussi une mue sur le lecteur tant ce texte nous bouscule par ces phrases courtes, précises, poétiques chargées d’émotions. Le mot Mue n’est il pas l’anagramme d’ému. Emu je le suis en refermant ce livre, un de ces livres qu’on a justement du mal à refermer. Mélanie, votre plume, et quelle plume, m’a marquée pour longtemps! »

Le 28 avril 2014,
Blog Littéraire Les Lectures du Hiboux

« Une écriture poétique, sonore, musicale, sans fioriture, simple, qui transporte, submerge, galvanise. Des histoires brèves, éphémères, intenses, denses, inavouables qui deviennent salvatrices,  des fragments de vie, des polaroïds, des uppercuts, des mots, une poésie… « 

Le 24 janvier 2014,
Blog littéraire L’ivre de lire 

« Ta plume caresse les corps et les cœurs, s’arrête et insiste tout à coup pour se transformer en scalpel qui ouvre une voie profonde et nous livre les âmes nues de Wilson et Lucie ; j’ai suivi leurs traces dans leur Nuit respective à l’instar de la découverte de l’appartement de Lucie par Wilson à la lueur intense mais restreinte de la lumière de son smartphone,… qui révèle des fragments d’intimité, des éclats de solitude, des bouts de vie que ni l’un ni l’autre n’arrivent à rassembler, icônes qu’ils sont de ce que Onfray appelle « l’atomisation sociale »,  incapables qu’ils sont de se laisser emporter par la douce musique d’un mot allemand que j’adore parce qu’il chante, qu’il glisse, qu’il ouvre des possibles : « die Zärtlichkeit », incapables qu’ils sont d’être cultivés dans le sens de ce que Albert Jacquard écrivait : « être cultivé, c’est savoir que les autres existent. » Oui, atomisés, figés comme un animal craintif dans la lueur des phares : un homme nu assis avec une érection pour personne, une femme fouillée par des doigts appartenant à une  fonctionnelle wilsonienne mais néanmoins anonyme main, avatar informatique identique à celle qui tend la clé de la chambre huit.
La forme tombe comme le couperet d’une guillotine ; le lecteur revient à la ligne pour un mot, une courte phrase, brute, définitive, le « cling » du retour de charriot d’une vieille machine à écrire. Cela a donné un rythme à ma lecture, rythme qui a quelque chose de théâtral et qui allait en harmonie permanente avec les sentiments qui me traversaient, un « ça »…cri d’amour que j’espérais voir sortir du ventre de Lucie mais avorté cependant par le destin définitif d’une mortelle glissade qui tôt ou tard nous réconcilie tous.
J’ai beaucoup aimé ton livre. »

Le 17 janvier 2014, Jean-Luc Borgeat (comédien)

« Mélanie Richoz ne ménage pas davantage le lecteur que ses personnages. Ses phrases courtes et fortes ont raison de sa tranquillité. Comme Jean regardant lire Lucie, cette histoire l’imprègne tellement qu’il quitte leur fiction et finit par se retrouver à leurs côtés, dans leurs moments de grande solitude… »

Le 6 novembre 2013, Le Blog de Francis Richard

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Le 15 septembre 2013, Le Matin Dimanche,
Anne-Sylvie Sprenger

« Parce qu’il a des romans où le besoin vital de le lire et de le relire est primordial sur les sentiments et émotions qui jaillissent. Parce que Mélanie RICHOZ a une plume et une sacrée plume… parce que les mots jaillissent, tapent, éclaboussent, s’infiltrent sous les plis du cœur, tambourinent l’âme, ensorcellent les oreilles, captent le regard. Mue est du grand, très grand roman… Du grand Mélanie RICHOZ, slameuse de l’âme et poétesse des mots. »

Le 6 juillet 2013, Le Petit carré jaune,
Sabine

« Mue, c’est un livre qui prend aux tripes, brûle et (re)mue, et en parler, partager des émotions fortes, souligner les mêmes passages (et, finalement, presque toutes les phrases…)… »

Le 6 juillet 2013, Blablablamia,
Séverine

« Le piano, lui, se retrouve là, au début, incongru, ne laissant ensuite planer que son ombre mystérieuse. De quoi donner une aura supplémentaire au roman, comme un arrière-fond onirique. »

Le 13 juin 2013, La Gruyère,
Eric Bulliard

« C’est la grande réussite du roman de Mélanie Richoz : dire la mue de l’amour. Ce qu’il bouleverse en nous, chahute, fait crépiter, survolte et pétrifie, dépouille et ressuscite. On le voit : les mots ne manquent pas pour figurer l’extase, quelquefois silencieuse, des amants qui se retrouvent en douce dans la chambre numéro huit de l’hôtel de la Cigogne !

Il faut lire ce petit livre incandescent : il brûle encore longtemps après qu’on en a refermé les pages »

Le 30 mai 2013, Les Blogs – écrivains de la comédie romande,
Jean-Michel Olivier

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Juin 2013, Marie-Claire

« Le livre de Mélanie Richoz est vraiment très bon, un univers, de la poésie, une histoire qui dit les méandres des hommes et ceux des femmes. Jubilatoire. »

Le 9 mai 2013, Facebook, Pascal Schouwey
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Le 5 mai 2013, Le Matin, Fred Valet

« (…) Une écriture à la fois poétique et directe,
qui pulse, tendue, fébrile. Tourbillonnante. »

Le 25 avril 2013, L’Hebdo – supplément Salon du Livre

Radio Fribourg

Journal de la mi-journée

Emission du 1er.5.2013

La Liberté, 20.4.13

Pour moi, écrire, c’est une manière d’être en résonnance avec le monde et j’essaie de transmettre cette résonnance.

Le 22 avril 2013, La Liberté, Jean Amman

Couv' Migros Magazine

  « Cette fribourgeoise ne se sent pas écrivaine même si elle vient de sortir son deuxième roman. Elle se définit simplement comme ergothérapeute et chroniqueuse. Enfin, c’est ce qu’elle a confessé en cuisine, autour d’un plat à l’encre de seiche… »

Le 15 avril 2013, Le Migros Magazine (l’article ici), Alain Portner

« Ce roman est venu me chercher
au niveau du ventre,
m’a attrapée, retournée…
Je l’ai ressenti physiquement.
J’en ai corné quasi toutes les pages,
les mots ont résonné en moi.
Tant de justesse et de proximité,
c’en est troublant et envoûtant. »

Coup de coeur de Lucie, blogueuse littéraire
Les Facéties de Lucie

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« Plus qu’une histoire d’amour, ce livre de la talentueuse et pétillante Fribourgeoise Mélanie Richoz dépeint un ballet entre deux cœurs. Une romance qui nous est chair. « 

Le 5 avril 2013, Vigousse, A. D.

Radio Fribourg

À l’Ombre du Baobag

Avec Laurent Michel

Emission du 5.4.2013

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Carine Delfini

Emission du 13.9.12

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« Grâce à un style musical flirtant avec la poésie, Mélanie Richoz amène le lecteur à cligner de l’œil à travers le prisme de ses vices inavoués, à voir au-delà de son inconsistance, à confronter sa part d’égocentrisme. »

Le 8 mars 2013, Le Nouvelliste, Marie-Christine Buffat

***

T O U R T E R E L L E (roman), éd. Slatkine

« Une plume magnifique, sans fioritures, pour aller droit au but, pour que les mots touchent là où il faut. Elle et lui ont participé à un atelier de création de chansons, Mélanie offre à ses lecteurs des mots en musique pour les emporter… »

Le 27 avril 2015, Leeloo s’envole

« Tourterelle est le premier roman de Mélanie Richoz, le deuxième que je lis de cette auteure. Deux romans lus, autant de coups de coeur. Un roman plein d’émotion, un roman fort, porté par un style tout en musique, la musique de l’émotion. Une poésie simple, une poésie vraie, qui frappe au coeur. »

Le 12 janvier  2015, Les Lectures du Hibou

« Cette histoire donne envie de déployer ses ailes aussi, au maximum de leur envergure. »

Le 28 décembre 2014, Les Facéties de Lucie

« Exprimée sans détours, cette sensualité exacerbée constitue l’apex d’un récit tout en gradation, empreint de poésie et d’une musique amoureuse. Suggérée de manière concrète par quelques titres fameux (« La Vie en rose », « La Javanaise »), cette musicalité est reflétée par la prosodie qui imprègne un récit rythmé par des chapitre si courts qu’ils font parfois figure de poèmes, et par des retours à la ligne inattendus qui mettent certains mots en évidence. »

Le 21 mai 2013, Fattorius, le blog de Daniel Fattore

Radio Fribourg

Le Rendez-vous Culture

Avec Laurent Michel

Emission du 25.1.13

RTS

Dernier rêve avant la nuit

Carine Delfini

Emission du 13.9.12

« Mélanie Richoz affiche un visage rieur. À 37 ans, la Gruérienne défend avec Tourterelle (éd. Slatkine) son premier roman et participe à sa première table ronde. » (Le Livre sur les Quais, 2012)

Le 10 septembre 2012, 24 heures, Bernard Chappuis

Le 31 août 2012, Le Journal de Morges, Donatella Romeo

RTS

Couleurs Locales

de Nicolas Beer

Emission du 15.5.12

« Ce qui l’intéressait, c’était rendre hommage à la sensualité, à l’importance du désir. Elle le fait par touches, sans appuyer. »

Le 11 mars 2012, La Liberté, Elisabeth Haas

« À la lecture, on est frappé aussi par l’importance du rythme, aux pulsations du textes. Phrases brèves, retours à la ligne, changements typographiques. »

Le 10 mars 2012, La Gruyère, Eric Buillard

Radio Fribourg

A l’Ombre du Baobab

Avec Laurent Michel

Emission du 4.4.12

RTS

Drôles d’Histoires

Lolita

Emission du 4.4.12

et du 7.4.12

RTS

Intérieur

Avec Daniel Fazan

Emission du 8.4.12

« Rires d’oiseaux, légèreté et sens du vol dans la vie,
Mélanie Richoz slamme et slalome avec la fraîcheur d’une adolescente
qu’elle n’est plus tout à fait » (Daniel Fazan)

Radio Fribourg

Le Rendez-vous Culture

Avec Laurent Michel

Emission du 14.3.12

« Les pages se tournent d’elles-mêmes sans qu’on y prête garde.
Leur contenu, lui, fait naître chez le lecteur printanier
des frissons passagers dans l’épine dorsale,
d’embarrassants remous dans le bas-ventre. »

Le 30 mars 2012, Le Messager, Katharina Kubicek

« Et ce n’est pas par copinage que nous avons voulu parler de Tourterelle.
Mais pour vous inviter au voyage. Mélanie Richoz dans ce livre-là écrit comme Christian Bobin.
Avec des espaces autour des mots pour reprendre son souffle. »

Le 15 mars 2012, Les Quotidiennes, Adelida Genoud

***

Bourse d’encouragement à la création littéraire 2011-2012

La bourse d’encouragement à la création littéraire du canton de Fribourg 2011-2012 m’a été attribuée pour l’écriture de mon deuxième roman.

Le 2 octobre 2011, Fémina, Sandra Weber

Le 30 septembre 2011, Le Messager, Katharina Kubicek

« Chansons, comédie musicale, nouvelles : le talent de la Bulloise, aussi comédienne et metteure en scène, est multiforme. »

Le 24 septembre 2011, La Liberté, Stéphane Sanchez

Le 27 septembre 2011, Les Quotidiennes, Sandra Weber

***

Je croyais que (livre illustré),

livre illustré par Yasmine Vanderauwera

« Le point de départ de cette permière aventure éditoriale est une pièce de théâtre. C’est à partir de confidences récoltées auprès de ses amis et connaissances qu’elle a imaginé « Machine à croire » pour la compagnie amateure Vestiaire Dames. (…)

Dans un joli livre au format carré, ces phrases bénéficient du regard et des illustrations de Yasmine Vanderauwera, styliste et dessinatrice. Son personnage féminin, Mine Vander, apporte son grain de sel et son humour, sans être purement illustratif. (…) ».

Le 10 octobre 2010, La Liberté, Elisabeth Haas


Couleur 3

Emilie Lit

Emission du 8.10.10

Le 7 novembre, Fémina, Sandra Weber

« A chaque fois, sous une apparence ludique, s’ouvre un univers qui touche à la fois à l’intime et à l’universel. Qui pousse à s’interroger sur ses propres croyances, ses souvenirs. Qui offre des sourires, souvent, et, parfois, une gravité derrière l’humour (…) ».

Le 19 octobre 2010, La Gruyère, Eric Buillard

« Comme beaucoup de gens, Mélanie Richoz croyait à des tas de choses bizarres, absurdes ou amusantes, qui faisaient peut-être lever les yeux au ciel à ses amis mais avaient le mérite de structurer son imaginaire. Or, comme beaucoup moins de gens, Mélanie a le talent de mettre ces petites croyances folles en mots, des formules percutantes qui laissent leur place aux idées farfelues tout en les passant au crible d’un joli sens de l’humour! Et comme qui se ressemble s’assemble (croit-on), elle a attiré dans son orbite une illustratrice elle aussi mi-fantasque mi-ironique, Yasmine Vanderauwera, qui signe Mine Vander pour faire bref, car elle a beaucoup d’idées pour mieux utiliser l’encre de ses stylos! »

http://www.sortir.ch/et.encore/event.T.71136-dedicace-melanie-richoz-et-yasmine-vanderauwera

« Je croyais que, un florilège de convictions irrationnelles, teintées de rêveries, de peur et d’un soupçon de superstition. « 

Le 29 octobre 2010, Le Messager, Katharina Kubicek

Article dans le Babymag, mars/avril 2011

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