Apollo, éd. Slatkine
13 septembre 2020, avec Manuella Maury
Littérature romande
Mélanie Richoz, ou la naissance d’une mère
La Fribourgeoise évoque dans «Apollo» le bonheur mais aussi les bouleversements de l’arrivée d’un enfant.
Caroline Rieder : 04.09.2020

«Apollo» raconte l’enfant qui arrive telle une fusée, mais aussi la naissance d’une mère. Dans son dernier livre, la Fribourgeoise Mélanie Richoz esquisse avec délicatesse ce monde nouveau qui surgit, propulsant les parents sur une autre planète. Face à cette expérience aussi intime que très largement partagée, l’auteure aurait pu avoir peur, mais elle ne craint pas les thèmes délicats. Pour aborder l’autisme dans «J’ai tué papa», elle avait puisé dans son expérience d’ergothérapeute. Pour ce texte, elle s’est tenue au plus près de son expérience de maman. Adepte des formes brèves, elle déroule le miracle de la vie par petites touches, dans un récit poétique qui dialogue avec les douces esquisses del’illustratrice d’origine japonaise Kotimi.
Corps de femme, tête de mère
Le récit démarre avec la fusion étonnée des premiers jours et la transformation de la femme en «koala épuisé qui dort, encore et encore, sur la branche de la maternité». Mais le ravissement l’emporte sur l’extrême fatigue. Au point que si la narratrice avait pu choisir comme nom «un plaisir de grossesse», elle aurait appelé son fils Apollo, car il lui a décroché la lune.
«J’ai perdu 5 kilos, 8, 10, 12, 15, 16. Personne n’a remarqué, tout le monde te regarde, moi la première»Mélanie Richoz, «Apollo»
Une joie immense qui n’élude pas les changements du corps, des plus immédiats comme le lait qui suinte jusque sur les vêtements, à ceux qui peuvent survenir plusieurs mois après l’accouchement: «J’ai perdu 5 kilos, 8, 10, 12, 15, 16. Personne n’a remarqué, tout le monde te regarde, moi la première.» Puis le repos de la guerrière: «Tu dors dans ta chambre, je fais mes nuits.» Ou encore le couple en perte de repères: le mari devenu père qui regarde sa compagne différemment, elle qui se demande où se cache la femme derrière la mère.
Entre sorties à trois, premiers pas du «petit garçon» devenu «le fils», retrouvailles charnelles avec l’homme aimé, les jours se déroulent en instantanés qui oscillent de la prose poétique au haïku. Ces mots qui semblent écrits pour être dits font écho à l’intérêt de l’auteure pour le slam. Voilà qui tombe bien, elle les portera sur la scène de La Coquette, à Morges, ce dimanche 6 septembre. À entendre ou à lire, un court opus pour se réjouir, se reconnaître ou se rappeler ces moments de vie si particuliers.
24h & Tribune de Genève, 4.9.2020
« Inévitablement je suis bouleversée. Je ne sais pas encore ce qu’est être mère. J’ignore tout. Et pourtant, les mots tendres, protecteurs, intimes de Mélanie Richoz ont immédiatement fait écho. Perspective des futurs ressentis, futures émotions, profusions. Des mots simples qui suffisent pour dire le bouleversement d’une nouvelle vie, à trois. La transformation de femme à mère, de mère à femme, amante, la transformation du corps, du lait qui coule, abondance d’amour. Pour dire les doutes et les angoisses. Les nuits sans sommeil, les éclats de joie, les premières séparations, le désir pour un homme. Son homme. Ce père. »
L’ivresse Littéraire, 4.8.2020


« C’est magnifique, la poésie est délicate, subtile, mais drôle à certains moments. N’ayant pourtant pas d’enfants, j’ai été très touchée et émue par ses vers, mais également par les très belles illustration de Kotimi. Elles complètent à merveilles les poèmes, douces et amusantes. »
Lire en Suisse, 31 mai 2020
22 mai 2020, avec Laurence Froidevaux

« L’irruption d’un enfant dans une vie de femme, une vie de couple, dans la vie du monde… Entre humour et inquiétude, méditation et quotidien, un long et fantasque poème d’une tendresse bouleversante, délicatement illustré dans le même esprit par @kotimi_art. Et un ouvrage ravissant, cadeau idéal pour de jeunes parents ! »
Payot, Joëlle Brack, juin 2020
25 mai 2020, avec Amaëlle

La Liberté, Elisabeth Haas, 23 mai 2020
Apollo est une lettre, une lettre à l’enfant, une lettre au petit garçon, un récit intime, touchant, inclassable et si beau, si pudique, libre, un acte d’amour feutré, un temps suspendu, volé, d’une mère, de parents pour son/leur fils, pour celui qui l’a fait mère/parents, qui l’a fait naître, qui lui a rendu son droit d‘être femme aussi, d’aimer, d’être aimée. Apollo est un chant, un trait de fusain, l’art merveilleux et sensible, rieur et fragile de Kotimi. Ses illustrations épurées, quasi enfantines, humaines sont un fil d’Ariane, le trait d’émotion, une touche de rose dans le coton de soi, le lien à une linea-negra disparue au détour d’un matin, au détour d’une naissance.
Le Petit Carré Jaune, 18 mai 2020
« Je ne sais pas comment en parler car il est difficile à décrire. Un OVLI comme je dis parfois (Objet Livresque Non Identifié). C’est un livre qui ne s’explique pas… il se ressent. »
Cathjack, 19 mai 2020
14 mai 2020, invitées culturelles de Coralie Claude
« Un hymne à l’amour, l’amour maternel, mais aussi l’amour pour l’homme, le père de l’enfant. »
Mémos-Emoi, 12 mai 2020
Le Bus, éd. Slatkine

Anne-Isabelle Aebli, Migros Magazine, septembre 2018
Priska Rauber, La Gruyère, 20.9.18
Valentin Jordil, Le Messager, 14.9.18
Invitée du 12h30 à la RTS
le 29.8.18, avec Coralie Claude
Anne Pitteloud, Le Courrier, 24.8.18
« Sortez un peu de votre zone de confort, ouvrez les yeux et respirez un grand coup. L’inconnu, la nouveauté, l’inhabituel peuvent vous entraîner sur des chemins de traverses littéraires dérangeants, étonnants, mais au demeurant fort agréables. »
Blog littéraire Actualité.com
« Le bus est un voile qui orne les femmes, les déshabille et leur donne chair, matrice, forme, vie. Un bus comme un rendez-vous, un passage, un trajet qui nous percute et prend forme. Un éclairage sur cette part qui est en nous, sur ce qui est nous, notre féminité, notre corps, notre sexe, notre sexualité. »
Blog littéraire, Le Petit Carré Jaune
La télé, le 24.8.2018

La Gruyère, 27 juillet 2018
Le Grand Prix culturel de la Migros a été attribué à la fribourgeoise Mélanie Richoz pour «Cerise», un manuscrit en cours d’écriture. L’écrivaine de 41 ans, qui compte déjà sept ouvrages à son actif, est récompensée de 50’000 francs.
Dans le cadre de son soutien aux activités culturelles, la coopérative Migros Neuchâtel-Fribourg offre chaque année à une discipline artistique différente un grand prix à un candidat soigneusement sélectionné par un jury de professionnels.
Parmi cinq auteurs (qui se partagent 10’000 francs), le choix du jury s’est porté sur Mélanie Richoz, bloggeuse et auteure déjà de sept romans chez Slatkine. La Fribourgeoise est récompensée pour «Cerise», titre provisoire d’un ouvrage en cours.
«Un ami m’a lancé un défi»
«La bourse d’un montant de 50’000 francs doit permettre à Mélanie Richoz, ergothérapeute de métier, de consacrer une année à la rédaction de Cerise», explique la coopérative Migros-Neuchâtel dans un communiqué. «Il me fallait un point de départ pour écrire une dizaine de page à soumettre au jury. Je cherchais une idée et un ami m’a lancé un défi», précise la Fribourgeoise.
«Ton personnage s’appellera Cerise. Elle voit en noir et blanc. Elle n’a jamais vu la couleur, mais elle sait que le rouge est sucré, le vert à l’odeur mouillée de la forêt et le bleu pince le cœur». De ce synopsis intrigant, Mélanie Richoz a engendré une héroïne dans la marge: une jeune femme présentant une anomalie anatomique en quête d’identité.
La Liberté, octobre 2016
La Gruyère, octobre 2016

Migros Magazine, octobre 2016
Le Point du i, éd. des ronds dans l’O
Sans jamais choquer, la simplicité du texte comme celui du crayon de Barroux qui suggère plus qu’il ne dévoile, nous embarque dans les thèmes du désir, de l’amour ou encore de la séduction. Des sujets qui font partie intégrante de nos quotidiens mais qui restent (trop souvent ?) dans l’intimité de notre vie ou dans le silence de nos monologues intérieurs.
Migros Magasine, Nadia Barth, le 3 novembre 2017

La Gruyère, Priska Rauber, le 5 octobre 2018

Revue DBD, juillet-août 2017
Le Point du i, coup de coeur de Marlène Métrailler sur Culture au Point
Espace 2, RTS, juin 2017
« Parce que « Le point du i » c’est nous, c’est elle, c’est moi, c’est vous. C’est la femme qui sommeille en nous, ose, se déguise, se maquille, se farde, se dénude, s’épanouie, se terre, se recherche, se joue du temps et du vent, se pose un instant, s’aime, aime, s’interroge, se malmène, se désire, désire, touche, effleure, ressent, ovule, se douche, se parfume, pleure en secret, doute, fout le bordel, rit mais surtout est elle avant d’être celle que l’autre désire, dessine, pense. »
Le Petit Carré Jaune, mai 2017

Comixtrip, Damien Canteau, juin 2017
Un garçon qui court, éd. Slatkine

La Gruyère, novembre 16
Eric Bulliard


Soins et Beauté, 5.10.2016 Le courrier, 26.8.16

Supplément de l’Hebdo, sélection Payot – Le meilleur de la rentrée –, août 2016
Espace 2
« Versus »
Avec Marlène Métrailler
Emission du 31.8.2016
« Dans son dernier opus, Mélanie Richoz fait preuve de silence, de pureté dans l’écriture, de discrétion comme pour mieux camoufler l’orage qui gronde, le secret qui transperce mais ne peut se dire, les émotions palpables, sensibles mais qui n’ont pas le droit de se montrer, de parler. »
Blog du Petit Carré Jaune, septembre 2016
« Cette lettre, pour Frédéric, c’est une renaissance, un retour à la vie. Un texte que le lecteur reçoit en plein cœur, si juste, si mesuré, si effilé. Un concentré d’émotion et de finesse. »
Blog motspourmots, septembre 2016
J’AI TUE PAPA, éd. Slatkine & Cie

J’ai tué papa apparaît sous forme de feuilleton dans La Gruyère, octobre 17 – février 18
« C’est un récit brillant, intelligent, grave, drôle par moments qui permet de donner une autre vision de l’autisme. »
Le 26.11.2017, Les lectures du mouton
« Un roman à trois voix, bouleversant de simplicité. »
Sélection du 17.02.2017, Allodocteurs
http://www.allodocteurs.fr/livre/la-selection-du-21-10-2016_20605.htm
« Une pure merveille de drôlerie, de subtilités, de finesse ! (…) Si vous ne le lisez pas, vous passez vraiment à côté de quelque chose. (…) Pour moi, c’est l’un des petits événements de l’année. »
Le 21.10.2016, Gérard Collard
« Ce roman à trois voix est poignant, il nous montre l’autiste de l’intérieur et cela en est que plus touchant. L’émotion est au rendez-vous !!! »
avril 2017, Sur ma table de nuit
« Mélanie Richoz réussit avec brio le pari de donner des clés à autisme, de l’éclairer, sans le juger ni tenter d’expliquer quoi que ce soit. Grâce au personnage d’Antoine, elle parle de tous les enfants dans la même condition, rejetés, incompris. D’ailleurs, ne dédie-t-elle pas ce livre à « ses petits patients » ? Ce roman, bouleversant malgré sa petitesse, est une belle ode à la différence, à l’ouverture d’esprit, à la compréhension de l’autre. À l’amour, tout court. »
mars 2017, Toute la culture
octobre 2016, Pauline Renou, bloggueuse
« J’ai tué papa est un très beau roman, sensible, à trois voix, au style travaillé pour rendre compte de la pensée, de la réflexion orale, à la dramaturgie soignée toute freudienne, qui nous introduit dans l’univers d’un autiste, ce qui permet de mieux comprendre ses réactions. »
Le 19 septembre 2016, Encres Vagabondes
« Un récit court mais qui m’a bouleversé. J’ai fini les dernières pages avec des poissons d’eau dans les yeux. »
Le 25 août 2016, Mot-à-mots
« Ce roman de Mélanie Richoz est un très beau texte, écrit de manière poétique et pudique. »
Le 25 août 2016, Les lectures d’Antigone
Rendez-vous culture
Radio Fribourg
Avec Thierry Savary
16.12.2015
Le 12h30
RTS
Avec Carine Regidor
21.11.2015
« Sous « cette forme romancée, récréative », elle propose une porte d’entrée vers ce monde si mystérieux de l’autisme. De manière très fine et avec une justesse épatante, Mélanie Richoz évoque différentes caractéristiques d’enfants atteints du syndrome d’Asperger : l’odorat hypersensible, la difficultés à nouer des relations avec ses camarades ou à comprendre l’humour, l’anxiété face à l’inconnu ou encoure un rapport absolu à la vérité : « Antoine ne conçoit pas que l’humain puisse mentir, même pour rigoler », écrit Mélanie Richoz. (…) A la voix d’Antoine se mêlent celles de sa mère et de son père, hospitalisé à la suite d’un accident que le petit narrateur ne comprend pas. Sans Pathos, mais extrêmement touchant. »
La Gruyère, Le 24 octobre 2015
Eric Bulliard
« Une auteure suisse d’une infinie douceur qui écrit avec sensibilité mais sans sensiblerie. Une plume faite pour les mots et les silences ….bref, une écrivaine de talent à suivre, et, pour certains, à découvrir ! »
Le 15 octobre 2015, Coup de pousses




« Avec un style qui lui est propre, sa façon d’écrire juste, sans un mot en trop, directe, Mélanie Richoz capte toutes les émotions nécessaires à dresser un portait rempli d’amour et de lumière. Une mélodie enchanteresse, un parfum de sensibilité, une ode à la différence »
Le 8 septembre 2015, Le Petit Carré Jaune
« La Bulloise prend le parti d’un discours épuré, rythmé par l’alternance des perspectives narratives, à laquelle s’ajoutent des retours à la ligne impromptus ou encore des références proches du comique et sources de légèreté. »
Le 4 septembre 2015, Sept.info





« Ce livre sonne très juste et dresse un portrait touchant de ce jeune garçon. C’est intéressant car Antoine est un autiste de haut niveau et il a appris et arrive à expliquer ce qu’il ressent. A l’image de Josef Schovanec, qui est cité en début de livre, il éclaire les personnes ordinaires sur ce qui se passe dans la tête de toutes les personnes extra-ordinaires. On peut mesurer alors les obstacles qui se présentent à toutes les personnes atteintes du spectre de l’autisme et pour lesquelles, il est difficile de communiquer. »
Le 11 septembre 2015, Blog Saperlitpopette
« Après avoir lu ce roman de Mélanie Richoz, dont le style est direct et dans lequel les mots font mouche, on ne peut qu’être tout chose quand on en émerge, parce qu’on sait fort bien que tout ce qu’on a appris est vrai et qu’on ne pourra plus jamais regarder un enfant ou un adulte atteint d’autisme de la même façon. »
Le 12 août 2015, le blog de Francis Richard
GUIDER LES ENFANTS AUTISTES DANS LES
HABILETES SOCIALES, éd. DE BOECK
Veuillez vous référer à mon site professionnel : http://www.ergobulle.ch
LE BAIN ET LA DOUCHE FROIDE, éd. Slatkine
Espace 2
Entre les lignes
Avec Marlène Métrailler et Jean-Marie Felix
Emission du 17 mars 2015
« La nouvelliste fribourgeoise souffle le chaud et le froid, en virtuose.
Ses créatures valdinguent dans tous les sens… Et tourne le manège de la cruauté ordinaire.
Ses personnages sont le plus souvent murés dans la solitude. Des hommes, des femmes. La plus âgée a 103 ans, les plus jeunes une dizaine d’années. Largués. Décalés. Ils ont en commun l’altérité, des voix singulières. Peinent presque tous à verbaliser leurs maux. N’en sont pas moins dignes dans leur genre. Autour d’eux, selon son humeur, Mélanie Richoz taille les silences, creuse le vide, pose des pièges ou aménage des passerelles.
L’auteure ne s’embarrasse pas de décors. Elle aime toutefois allumer la mèche de ses histoires sur des seuils, devant des portes entrebâillées – de préférence grinçantes et aux gonds mal huilés -, des embrasures qui donnent vers des intérieurs tamisés. Elle a le don aussi pour planter son lecteur à contrejour… A partir de là, elle suggère. Elle donne des pistes. Raconte en pointillés. Des horreurs parfois. Elle cisèle la langue. La pimente de jurons, de frivolités ou de néologismes si nécessaire. Il lui arrive de régler des comptes. Mine de rien, elle fait mouche, vous alpague par surprise et avec grâce. »
Marlène Métrailler
« De sa plume directe, concise, précise, chirurgicale, Mélanie Richoz fouille dans nos entrailles pour aller frapper directement au coeur. Une écriture où l’économie de mots rend ceux-ci encore plus efficaces, plus puissants. Finalement que c’est bon l’économie. »
Le 4 mars 2015, Les lectures du Hiboux
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Perle de mercure
Emission du 13 mai 2015
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Rire de grande folle
Avec Victoria Turrian
Emission du 7 janvier 2015
Le 13 décembre 2014, La Liberté
Le 6 décembre 2014, La Gruyère
Entretien sur Littérature-romande.net
le 23 novembre 2014
« L’art de la nouvelle est difficile, il faut ce point de tension rapide, cette chute crédible, saisir l’humanité des personnages en quelques lignes. Mélanie Richoz est experte en la matière, un recueil à découvrir, rapidement! »
Le 30 octobre 2014, L’Insatiable Charlotte
5-7 septembre, Tribune de Genève
Le 2 juillet 2014, Marie Claire
Chat franco-suisse
avec Mélanie Chappuis, Les Livres Voyageurs et moi
juin 2014, L’ivre de lire
Le 15 juin 2014, Fémina,
Nicolas Poinsot
« Les plus courtes sont toujours les meilleures. Mélanie ne contredirait pas l’adage, elle qui publie Le Bain et la Douche froide, un recueil de 24 nouvelles aussi lapidaires qu’intrigantes. Pas toujours drôles, non, mais souvent acerbes, piquantes, enlevées, désespérées, cruelles et poétiques. Après l’incongru et stimulant roman Mue publié l’an passé, la Fribourgeoise renoue avec la forme brève dans ces nouvelles qui sont autant de chroniques où se construisent des mondes justes assez invraisemblables pour que l’on ait envie d’y croire.
(…). Bien sûr, l’on pourrait faire reproche à Mélanie Richoz d’avoir le souffle court. Elle qui confiait l’an passé à La Liberté écrire comme « à tâtons » touche pourtant juste : ses saynètes en disent plus long que ce que leur nombre de pages laisse supposer. « On ne décide pas de devenir écrivain, mais d’écrire », fait-elle dire à l’un de ses personnages. Qu’elle continue donc. »
Le 12 avril 2014, La Liberté,
Thierry Raboud
Télévision Suisse Romande
Le 19h30
« Si les livres sont sur les Quais, les auteurs sont sous les tables » 😉
Emission du 6 septembre 2014
La Télé
L’actu du midi
avec Zelda Chauvet
Emission du 5 septembre 2014
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Avec Victoria Turrian
Emission du 20 août 2014
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Avec Victoria Turrian
Emission du 11 août 2014
La Télé
Culture Mix
avec Zelda Chauvet
Emission du 5 juin 2014
RTS
Entre nous soit dit
Avec Mélanie Croubalian
Emission du 15.5.2014
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Avec Carine Delfini
Emission du 15 et 17.5.2014
Le 15 mai 2014, Le Nouvelliste / L’Express et L’Impartial
Audrey Carron
Le 2 mai 2014, Vigousse
Alinda Dufey
Le 25 avril 2014, Le Messager,
Valérie Blom
«Dans chaque nouvelle, il y a beaucoup de noirceur mais aussi beaucoup de lumière! J’avais un peu peur que ça fasse midinette, au départ, mais ça ne l’est en fait pas du tout». Fraîchement auteure du livre Le Bain et la Douche froide, Mélanie Richoz est une Fribourgeoise bien connue des Francs-Montagnards. Active dans le giron culturel romand, la jeune Bulloise est une bonne amie du chanteur taignon LiA, alias Félicien Donzé, pour lequel elle a écrit trois chansons de ses deux albums solo. Rien d’étonnant si le Jura s’intéresse désormais à son dernier ouvrage, paru en mars dernier aux Editions Slatkine. Au coeur d’un recueil de 24 nouvelles, ils retrouveront sans peine la verve d’une plume contemporaine, glissant aisément entre sombres ambiances et grivoiserie.
De la pénombre à la lumière
Ergothérapeute spécialisée en pédiatrie, Mélanie Richoz est ainsi une rédactrice passionnée à ses heures, grande adepte des récits courts. A la suite de textes divers et chroniques locales, Le Bain et la Douche froide est son quatrième opus. Pour qui a fredonné Le Courant d’air, La Libellule ou Asphalte de LiA, la malice plumitive signée Richoz n’est donc point inconnue. Après un essai théâtral, puis deux romans, l’auteure met aujourd’hui les bouchées doubles via 24 nouvelles. Des histoires fugaces, indépendantes l’un de l’autre, mais à lire, si possible, à la suite. «Certaines d’entre elles ont quelque chose en commun». De l’une à l’autre, Mélanie traite des thématiques fortes telles que la fausse-couche, le racisme ou le suicide auprès des jeunes. Des sujets de sociétés certes austères, mais auxquels l’auteure assène chaque fois un espoir tangible. «Ce qui me permet d’aller autant vers la noirceur, c’est que les personnages sont plein d’amour et de lumière. Il y a beaucoup de personnages enfantins et adolescents».
Du racisme à l’érotisme
Parmi ces atmosphères contrastées: deux nouvelles érotiques, dont Comme des enfants sauvages qui épient le monde dans l’embrasure d’une porte. Ingénument, les jeunes héroïnes s’y adonnent lascivement aux amours saphiques. Un récit sous forme d’exploration, principalement; pudiquement exposé, sans la moindre vulgarité. «C’est très érotique, mais pas sexuel. Parce que même si ça dit vraiment les choses, ç’est présenté comme une découverte». Objet de lecture lors du récent vernissage, à Fribourg, la nouvelle a vivement interpellé le jeune public masculin: «Certains m’ont dit qu’ils ont adoré savoir comment ça se passait pour une fille…».
Le 23 avril 2014, Arc Hebdo
Salomé Di Nuccio
Le 18 avril 2014, Le Courrier,
Marc-Olivier Parlatano
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Emission du 24.4.2014
« La douceur ne reste jamais bien loin, car même si la violence des uns envers les autres, l’injustice ou la vengeance l’emportent parfois, ce sont les gouttes de vie qui restent et réveillent… et les espoirs pointent joliment le bout de leur nez sous forme de paire de chaussures dans une entrée… «
Le 16 avril 2014, Blablamia,
Séverine
Le 8 avril 2014, La Gruyère
Angélique Rime
« Mélanie, ton « bain et la douche froide » qu’est ce que je l’ai aimé. Je l’ai tellement aimé que cela fait bientôt deux semaines que je le lis, le relis, le re-relis. Deux semaines où je puise dans ton eau pour trouver les mots et tenter de faire tant bien que mal un billet. Deux semaines que je n’arrive pas à en parler. Deux semaines…
(…) Mélanie, tes phrases, ton style, ta prose, ta musicalité… Et toujours ce sentiment d’urgence, de vivre la vie intensément, goulument. »
Le petit carré jaune,
Sabine
Le 3 avril 2014, L’Hebdo
Isabelle Falconnier
Elle a prêté sa plume à l’artiste loitchou LiA, alias Félicien Donzé. La Gruériene Mélanie Richoz a en effet signé les chansons «Si j’étais un courant d’air» ou «La libelule». Elle sort aujourd’hui un recueil de 24 nouvelles aux éditions Slatkine; de petites histoires traitant de sujets très divers comme la fausse couche, l’amour paternel ou l’homosexualité. Intitulé «Le Bain et la Douche froide», le quatrième ouvrage de cette jeune et prometteuse auteure est disponible en librairie depuis fin mars.(per)
Le 1er avril 2014, Le Franc-Montagnard
« Mélanie Richoz avait beaucoup de choses à écrire. Elle les a écrites tout simplement, parfois crûment. Elle s’est écoutée et le genre de la nouvelle courte convenait parfaitement à tous ces propos qu’elle voulait tenir. A la lire, il n’est pas besoin de se demander si l’élan pour écrire lui a été donné. »
Le 28 mars 2014, Le Blog de Francis Richard
Radio Fribourg
À l’Ombre du Baobag
Avec Laurent Michel
Emission du 26.3.2014
***
MUE, éd. Slatkine
« Ce superbe roman qui nous conte la mue des deux personnages par le frottement de leur peaux, le fait de rentrer dans la peau de l’autre, mais aussi par leur rapport aux mots, écrits ou prononcés ou même par leur absence opère aussi une mue sur le lecteur tant ce texte nous bouscule par ces phrases courtes, précises, poétiques chargées d’émotions. Le mot Mue n’est il pas l’anagramme d’ému. Emu je le suis en refermant ce livre, un de ces livres qu’on a justement du mal à refermer. Mélanie, votre plume, et quelle plume, m’a marquée pour longtemps! »
Le 28 avril 2014,
Blog Littéraire Les Lectures du Hiboux
« Une écriture poétique, sonore, musicale, sans fioriture, simple, qui transporte, submerge, galvanise. Des histoires brèves, éphémères, intenses, denses, inavouables qui deviennent salvatrices, des fragments de vie, des polaroïds, des uppercuts, des mots, une poésie… «
Le 24 janvier 2014,
Blog littéraire L’ivre de lire
« Ta plume caresse les corps et les cœurs, s’arrête et insiste tout à coup pour se transformer en scalpel qui ouvre une voie profonde et nous livre les âmes nues de Wilson et Lucie ; j’ai suivi leurs traces dans leur Nuit respective à l’instar de la découverte de l’appartement de Lucie par Wilson à la lueur intense mais restreinte de la lumière de son smartphone,… qui révèle des fragments d’intimité, des éclats de solitude, des bouts de vie que ni l’un ni l’autre n’arrivent à rassembler, icônes qu’ils sont de ce que Onfray appelle « l’atomisation sociale », incapables qu’ils sont de se laisser emporter par la douce musique d’un mot allemand que j’adore parce qu’il chante, qu’il glisse, qu’il ouvre des possibles : « die Zärtlichkeit », incapables qu’ils sont d’être cultivés dans le sens de ce que Albert Jacquard écrivait : « être cultivé, c’est savoir que les autres existent. » Oui, atomisés, figés comme un animal craintif dans la lueur des phares : un homme nu assis avec une érection pour personne, une femme fouillée par des doigts appartenant à une fonctionnelle wilsonienne mais néanmoins anonyme main, avatar informatique identique à celle qui tend la clé de la chambre huit.
La forme tombe comme le couperet d’une guillotine ; le lecteur revient à la ligne pour un mot, une courte phrase, brute, définitive, le « cling » du retour de charriot d’une vieille machine à écrire. Cela a donné un rythme à ma lecture, rythme qui a quelque chose de théâtral et qui allait en harmonie permanente avec les sentiments qui me traversaient, un « ça »…cri d’amour que j’espérais voir sortir du ventre de Lucie mais avorté cependant par le destin définitif d’une mortelle glissade qui tôt ou tard nous réconcilie tous.
J’ai beaucoup aimé ton livre. »
Le 17 janvier 2014, Jean-Luc Borgeat (comédien)
« Mélanie Richoz ne ménage pas davantage le lecteur que ses personnages. Ses phrases courtes et fortes ont raison de sa tranquillité. Comme Jean regardant lire Lucie, cette histoire l’imprègne tellement qu’il quitte leur fiction et finit par se retrouver à leurs côtés, dans leurs moments de grande solitude… »
Le 6 novembre 2013, Le Blog de Francis Richard
Le 15 septembre 2013, Le Matin Dimanche,
Anne-Sylvie Sprenger
« Parce qu’il a des romans où le besoin vital de le lire et de le relire est primordial sur les sentiments et émotions qui jaillissent. Parce que Mélanie RICHOZ a une plume et une sacrée plume… parce que les mots jaillissent, tapent, éclaboussent, s’infiltrent sous les plis du cœur, tambourinent l’âme, ensorcellent les oreilles, captent le regard. Mue est du grand, très grand roman… Du grand Mélanie RICHOZ, slameuse de l’âme et poétesse des mots. »
Le 6 juillet 2013, Le Petit carré jaune,
Sabine
« Mue, c’est un livre qui prend aux tripes, brûle et (re)mue, et en parler, partager des émotions fortes, souligner les mêmes passages (et, finalement, presque toutes les phrases…)… »
Le 6 juillet 2013, Blablablamia,
Séverine
« Le piano, lui, se retrouve là, au début, incongru, ne laissant ensuite planer que son ombre mystérieuse. De quoi donner une aura supplémentaire au roman, comme un arrière-fond onirique. »
Le 13 juin 2013, La Gruyère,
Eric Bulliard
« C’est la grande réussite du roman de Mélanie Richoz : dire la mue de l’amour. Ce qu’il bouleverse en nous, chahute, fait crépiter, survolte et pétrifie, dépouille et ressuscite. On le voit : les mots ne manquent pas pour figurer l’extase, quelquefois silencieuse, des amants qui se retrouvent en douce dans la chambre numéro huit de l’hôtel de la Cigogne !
Il faut lire ce petit livre incandescent : il brûle encore longtemps après qu’on en a refermé les pages »
Le 30 mai 2013, Les Blogs – écrivains de la comédie romande,
Jean-Michel Olivier
Le 5 mai 2013, Le Matin, Fred Valet
« (…) Une écriture à la fois poétique et directe,
qui pulse, tendue, fébrile. Tourbillonnante. »
Le 25 avril 2013, L’Hebdo – supplément Salon du Livre
Radio Fribourg
Journal de la mi-journée
Emission du 1er.5.2013
Pour moi, écrire, c’est une manière d’être en résonnance avec le monde et j’essaie de transmettre cette résonnance.
Le 22 avril 2013, La Liberté, Jean Amman
« Cette fribourgeoise ne se sent pas écrivaine même si elle vient de sortir son deuxième roman. Elle se définit simplement comme ergothérapeute et chroniqueuse. Enfin, c’est ce qu’elle a confessé en cuisine, autour d’un plat à l’encre de seiche… »
Le 15 avril 2013, Le Migros Magazine (l’article ici), Alain Portner
« Ce roman est venu me chercher
au niveau du ventre,
m’a attrapée, retournée…
Je l’ai ressenti physiquement.
J’en ai corné quasi toutes les pages,
les mots ont résonné en moi.
Tant de justesse et de proximité,
c’en est troublant et envoûtant. »
Coup de coeur de Lucie, blogueuse littéraire
Les Facéties de Lucie
« Plus qu’une histoire d’amour, ce livre de la talentueuse et pétillante Fribourgeoise Mélanie Richoz dépeint un ballet entre deux cœurs. Une romance qui nous est chair. «
Le 5 avril 2013, Vigousse, A. D.
Radio Fribourg
À l’Ombre du Baobag
Avec Laurent Michel
Emission du 5.4.2013
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Carine Delfini
Emission du 13.9.12

« Grâce à un style musical flirtant avec la poésie, Mélanie Richoz amène le lecteur à cligner de l’œil à travers le prisme de ses vices inavoués, à voir au-delà de son inconsistance, à confronter sa part d’égocentrisme. »
Le 8 mars 2013, Le Nouvelliste, Marie-Christine Buffat
***
T O U R T E R E L L E, éd. Slatkine
« Une plume magnifique, sans fioritures, pour aller droit au but, pour que les mots touchent là où il faut. Elle et lui ont participé à un atelier de création de chansons, Mélanie offre à ses lecteurs des mots en musique pour les emporter… »
Le 27 avril 2015, Leeloo s’envole
« Tourterelle est le premier roman de Mélanie Richoz, le deuxième que je lis de cette auteure. Deux romans lus, autant de coups de coeur. Un roman plein d’émotion, un roman fort, porté par un style tout en musique, la musique de l’émotion. Une poésie simple, une poésie vraie, qui frappe au coeur. »
Le 12 janvier 2015, Les Lectures du Hibou
« Cette histoire donne envie de déployer ses ailes aussi, au maximum de leur envergure. »
Le 28 décembre 2014, Les Facéties de Lucie
« Exprimée sans détours, cette sensualité exacerbée constitue l’apex d’un récit tout en gradation, empreint de poésie et d’une musique amoureuse. Suggérée de manière concrète par quelques titres fameux (« La Vie en rose », « La Javanaise »), cette musicalité est reflétée par la prosodie qui imprègne un récit rythmé par des chapitre si courts qu’ils font parfois figure de poèmes, et par des retours à la ligne inattendus qui mettent certains mots en évidence. »
Le 21 mai 2013, Fattorius, le blog de Daniel Fattore
Radio Fribourg
Le Rendez-vous Culture
Avec Laurent Michel
Emission du 25.1.13
RTS
Dernier rêve avant la nuit
Carine Delfini
Emission du 13.9.12

« Mélanie Richoz affiche un visage rieur. À 37 ans, la Gruérienne défend avec Tourterelle (éd. Slatkine) son premier roman et participe à sa première table ronde. » (Le Livre sur les Quais, 2012)
Le 10 septembre 2012, 24 heures, Bernard Chappuis
Le 31 août 2012, Le Journal de Morges, Donatella Romeo
RTS
Couleurs Locales
de Nicolas Beer
Emission du 15.5.12

« Ce qui l’intéressait, c’était rendre hommage à la sensualité, à l’importance du désir. Elle le fait par touches, sans appuyer. »
Le 11 mars 2012, La Liberté, Elisabeth Haas

« À la lecture, on est frappé aussi par l’importance du rythme, aux pulsations du textes. Phrases brèves, retours à la ligne, changements typographiques. »
Le 10 mars 2012, La Gruyère, Eric Buillard
Radio Fribourg
A l’Ombre du Baobab
Avec Laurent Michel
Emission du 4.4.12
RTS
Drôles d’Histoires
Lolita
Emission du 4.4.12
et du 7.4.12
RTS
Intérieur
Avec Daniel Fazan
Emission du 8.4.12
« Rires d’oiseaux, légèreté et sens du vol dans la vie,
Mélanie Richoz slamme et slalome avec la fraîcheur d’une adolescente
qu’elle n’est plus tout à fait » (Daniel Fazan)
Radio Fribourg
Le Rendez-vous Culture
Avec Laurent Michel
Emission du 14.3.12
« Les pages se tournent d’elles-mêmes sans qu’on y prête garde.
Leur contenu, lui, fait naître chez le lecteur printanier
des frissons passagers dans l’épine dorsale,
d’embarrassants remous dans le bas-ventre. »
Le 30 mars 2012, Le Messager, Katharina Kubicek
« Et ce n’est pas par copinage que nous avons voulu parler de Tourterelle.
Mais pour vous inviter au voyage. Mélanie Richoz dans ce livre-là écrit comme Christian Bobin.
Avec des espaces autour des mots pour reprendre son souffle. »
Le 15 mars 2012, Les Quotidiennes, Adelida Genoud
***
Bourse d’encouragement à la création littéraire 2011-2012
La bourse d’encouragement à la création littéraire du canton de Fribourg 2011-2012 m’a été attribuée pour l’écriture de mon deuxième roman.

Le 2 octobre 2011, Fémina, Sandra Weber

Le 30 septembre 2011, Le Messager, Katharina Kubicek

« Chansons, comédie musicale, nouvelles : le talent de la Bulloise, aussi comédienne et metteure en scène, est multiforme. »
Le 24 septembre 2011, La Liberté, Stéphane Sanchez

Le 27 septembre 2011, Les Quotidiennes, Sandra Weber
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Je croyais que,
livre illustré par Yasmine Vanderauwera

« Le point de départ de cette permière aventure éditoriale est une pièce de théâtre. C’est à partir de confidences récoltées auprès de ses amis et connaissances qu’elle a imaginé « Machine à croire » pour la compagnie amateure Vestiaire Dames. (…)
Dans un joli livre au format carré, ces phrases bénéficient du regard et des illustrations de Yasmine Vanderauwera, styliste et dessinatrice. Son personnage féminin, Mine Vander, apporte son grain de sel et son humour, sans être purement illustratif. (…) ».
Le 10 octobre 2010, La Liberté, Elisabeth Haas

Couleur 3
Emilie Lit
Emission du 8.10.10

Le 7 novembre, Fémina, Sandra Weber

« A chaque fois, sous une apparence ludique, s’ouvre un univers qui touche à la fois à l’intime et à l’universel. Qui pousse à s’interroger sur ses propres croyances, ses souvenirs. Qui offre des sourires, souvent, et, parfois, une gravité derrière l’humour (…) ».
Le 19 octobre 2010, La Gruyère, Eric Buillard

« Comme beaucoup de gens, Mélanie Richoz croyait à des tas de choses bizarres, absurdes ou amusantes, qui faisaient peut-être lever les yeux au ciel à ses amis mais avaient le mérite de structurer son imaginaire. Or, comme beaucoup moins de gens, Mélanie a le talent de mettre ces petites croyances folles en mots, des formules percutantes qui laissent leur place aux idées farfelues tout en les passant au crible d’un joli sens de l’humour! Et comme qui se ressemble s’assemble (croit-on), elle a attiré dans son orbite une illustratrice elle aussi mi-fantasque mi-ironique, Yasmine Vanderauwera, qui signe Mine Vander pour faire bref, car elle a beaucoup d’idées pour mieux utiliser l’encre de ses stylos! »
http://www.sortir.ch/et.encore/event.T.71136-dedicace-melanie-richoz-et-yasmine-vanderauwera

« Je croyais que, un florilège de convictions irrationnelles, teintées de rêveries, de peur et d’un soupçon de superstition. «
Le 29 octobre 2010, Le Messager, Katharina Kubicek